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Stéphane Dubreil

8 avril 2024
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La Rafle d’Izieu du 6 avril 1944, un album pour l’histoire et la mémoire

6 avril 1944, 44 enfants juifs réfugiés à Izieu, dans l’Ain, et 7 adultes qui les encadraient sont raflés sur ordre du SS Klaus Barbie. Ils sont déportés à Auschwitz, en Pologne, et à Tallinn, en Estonie. A l’occasion du 80e anniversaire de ce drame, la Boite à Bulles publie La Rafle d’Izieu, de Pascal Bresson et Giulio Salvadori, un album qui en retrace l’histoire.

Des enfants juifs à Izieu

Rapidement après la fin des hostilités entre la France et l’Allemagne, le régime du maréchal Pétain montre son inclinaison antisémite. Début octobre 1940, une série de lois dont un texte « le statut des juifs » organise la mise à l’écart progressive de la société de la population juive en interdisant l’accès à de nombreux emplois publics, des médias ou aux professions libérales. Il prend aussi des mesures pour l’internement des étrangers indésirables. De nombreuses familles juives qui ont fui le nazisme, dont beaucoup d’enfants sont français car nés en France, se retrouvent prises au piège. Les conditions de vie sont effroyables. L’hygiène est absente, l’eau et la nourriture manquent, des maladies se développent. Dans les camps des Milles, de Gurs, de Rivesaltes, de Noé, du Rébécou ou du Vernet, les morts se comptent par dizaines. Des organisations humanitaires sont autorisées, à leur frais, à visiter les camps de rétention et à secourir les internés. Les moyens sont limités, les enfants sont l’objet de l’attention de l’OSE, Œuvre de Secours aux enfants. Créée en 1912, en pleine crise antisémite de la Russie tsariste, elle transfère son siège de Berlin à Paris en 1933, puis à Vichy. Dès 1941, l’OSE fait sortir des enfants des camps puis les recueillent dans des maisons en zone non occupée. Ces groupes d’enfants ne sont pas exceptionnels dans la France occupée. Beaucoup, juifs et non juifs, ont été envoyés loin de la guerre, de l’occupation et des bombardements potentiels.

Le camp de Rivesaltes 1941-1942. Collection Mémorial du Camp de Rivesaltes

A partir de janvier 1942 et la conférence de Wansee qui a mis au point l’organisation de la destruction des juifs d’Europe, le danger se rapproche de plus en plus des juifs français et étrangers. Des rafles sont organisées dans les deux zones. La France de Vichy est le seul pays d’Europe non occupé qui livre de lui-mêmes des juifs aux Allemands.

Un couple exceptionnel

Sabine et Miron Zlatin sont les chevilles ouvrières de la colonie d’Izieu. Juive polonais, juif russe, réfugiés en France depuis le milieu des années 1920, ils sont naturalisés en 1939 (Deux demandes de retrait de la nationalité seront déposées en juin 1942 et mai 1943, sans succès). Après la débâcle, ils se retrouvent à Montpellier. Sabine est infirmière, Miron dirige une exploitation agricole mais les lois antisémites les rattrapent. Sabine est renvoyée. Ne renonçant pas à aider les plus démunis, elle se dirige vers l’OSE. A partir de l’été 1941, elle commence à faire sortir des enfants des camps. Ils sont placés dans des familles, des maisons religieuses ou des institutions. L’abbé Prévost, ami de Sabine, protège par exemple plusieurs centaines d’enfants au sanatorium de Palavas les Flots. Il faut aussi penser aux parents qui se séparent de leurs enfants pour leur sauver la vie sans savoir quand ils pourront les retrouver. L’OSE réussit à assurer la correspondance entre les familles par courrier.

Le départ vers la zone italienne

Après le débarquement allié en Afrique du Nord qui déclenche l’invasion de la zone non occupée par l’armée du Reich, les enfants courent de grands dangers. Partir vers la zone occupée par l’Italie présente moins de risque. Pour des raisons qui tiennent aux rapports franco-italiens et germano-italiens, les hommes de Mussolini ne persécutent pas les juifs en France. Izieu est justement en zone italienne et une grande maison est libre pour accueillir la colonie protégée par Sabine et Miron Zlatin. Sans compter que la Suisse toute proche peut s’avérer une échappatoire commode. Plusieurs autres maisons de la région abriteront des enfants juifs.

Le lieu est un paradis pour les enfants. Ils sont au grand air, ils vont à l’école, ils ne risquent pas grand-chose. Les fermiers Perticoz dont la ferme jouxte la maison se montrent bienveillants et protecteurs. Les enfants de la région fréquentent les enfants de la maison, ils jouent ensemble, se baignent dans le Rhône. Les paysans et les commerçants vendent leurs produits pour nourrir les enfants et leurs accompagnateurs. Le sous-préfet de l’Ain, Pierre-Marcel Wiltzer reçoit Sabine Zlatin sur les conseils de Roger Fridrici qui travaille à la préfecture de l’Hérault où sont cachés les enfants de l’OSE et encourage leur arrivée dans l’Ain. Marie-Antoinette Cojean joue aussi un rôle important en rassemblant les meubles et le matériel nécessaire à la vie quotidienne et scolaire. Une institutrice est détachée pour assurer les cours. Les adultes font tout pour que les enfants profitent du moment et essaient de s’extraire au maximum de l’enfer d’où ils sont sortis. La colonie est un lieu de vie. On connait bien leur quotidien car de nombreuses lettres ont été échangées avec les parents dans lesquelles ils racontent leurs journées, leur menus, leurs jeux… Beaucoup ignorent encore qu’ils sont orphelins.

Automne 1943

Le 8 juillet 1943, Mussolini est destitué par le roi d’Italie. Le 8 septembre, le nouveau régime sort de la guerre et signe un armistice avec les Alliés. Aussitôt, les Allemands envahissent la zone italienne. La maison d’Izieu est à portée de griffes des nazis. Les adultes comprennent qu’il faut accélérer la dispersion des enfants. Le 7 janvier 1944, le docteur Ben-Drihem qui s’occupaient des enfants et des habitants des villages est arrêté et déporté. Le 23 mars, 18 enfants et deux de leurs mères sont raflés et déportés depuis une autre colonie en Isère, à 40 kilomètres d’Izieu. Début avril Sabine Zlatin se rend à Montpellier pour trouver une solution. Elle a prévu que les enfants encore présents seront évacués par petits groupes à partir du 11 avril.

Le 6 avril 1944

45 enfants prennent leur petit déjeuner, les vacances de Pâques commencent tout juste. Léon Reifman, ancien adulte de la colonie est présent car il a raccompagné deux adolescents scolarisés à Belley. A 8h30, deux camions remplis de soldats arrivent dans la cour. Les enfants et les adultes sont rassemblés rapidement et brutalement. Leon Reifman saute par une fenêtre et s’échappe dans la forêt. Les Perticoz et leur ouvrier agricole assistent pétrifiés à la rafle. Ils sont frappés par la violence de la scène. Les camions sont contraints de s’arrêter plus bas dans la vallée pour refaire le plein de leur gazogène quand une habitante reconnait René-Michel Wucher, seul enfant non juif présent ce jour-là. Il est sorti du camion et retrouve sa famille.

La rafle racontée par le témoin qui était à la ferme attenante à la maison et qui décrit la violence et la dureté des soldats qui viennent arrêter des enfants. Crédit Pascal Bresson, Giulio Salvadori. La Boite à Bulles.
La rafle a eu lieu le matin alors que les enfants prenaient leur petit déjeuner. Ils ne peuvent pas finir le repas. Les soldats saccagent tout à la recherche de choses précieuses. Par chance, ils ne détruisent pas les dessins, les lettres des enfants et les archives que Sabine Zlatin pourra récupérer et donner à la Bibliothèque nationale. Crédit Pascal Bresson, Giulio Salvadori. La Boite à Bulles.

Vers Auschwitz

Le trajet vers Lyon dure quatre heures, les enfants et leurs accompagnateurs arrivent pour deux jours à la prison de Montluc. La plus jeune est âgée de 5 ans, le plus vieux de 17 ans.  Ils sont tous envoyés à Drancy où les conditions de vie sont terrifiantes. Le 13 avril, 34 enfants et 4 adultes d’Izieu partent vers Auschwitz dans le convoi 71 dans lequel figure Simone Veil et sa mère. Le trajet en wagons plombés, sans eau, ni nourriture dure trois jours. On les fait monter dans des camions « pour arriver plus vite ». Tous seront assassinés dans les chambres à gaz du camp. Lea Feldblum, jugée apte au travail est séparée du groupe. Le 29 avril, le convoi 72 part en emportant Lucie Feiger. Le 15 mai, le convoi 73 part vers Talinn, emportant Miron Zlatin et les deux enfants plus âgés de 16 et 17 ans. Leur destination est un camp de travail. Les derniers enfants partent par les convois 74, 75 et 76. Aucun ne reviendra.

Le seul enfant non juif présent à la colonie est libéré quand il est reconnu, sur la route du retour vers Lyon. Crédit Pascal Bresson, Giulio Salvadori. La Boite à Bulles.
Les adultes et les enfants, dont les plus jeunes ont cinq ans, arrivent la prison Montluc avant leur transfert vers Drancy. Crédit Pascal Bresson, Giulio Salvadori. La Boite à Bulles.
L’arrivée à Auschwitz après trois jours de voyage en wagons plombés, sans eau, ni nourriture, de nuit. Comment imaginer la terreur que ressentent les enfants, les adultes qui sortent violemment des trains entourés de bruits, de cris, d’aboiements. Le tri commence à la sortie des wagons. Les enfants incapable de travailler sont conduits en camion vers les chambre à gaz avec les personnes âgées, les personnes invalides ou diminuées. Une mère placée dans la file du travail change pour retrouver son fils qui pleure. Ils seront assassinés tous les deux. Crédit Pascal Bresson, Giulio Salvadori. La Boite à Bulles.

Le procès Barbie

Un évènement majeur va ramener la mémoire des enfants d’Izieu sur le devant de l’actualité. Bien qu’évoqué au Procès de Nuremberg, cette rafle présente dans l’histoire de la persécution est relativement oubliée. La capture puis le procès du SS Klaus Barbie, dit « le Boucher de Lyon » pour crime contre l’humanité, le premier tenu en France, rappelle le calvaire des enfants et des adultes déportés le 6 avril 1944. La rafle d’Izieu est un des trois faits retenus contre Barbie. Des témoins viennent déposer. Une institutrice, des parents d’enfants déportés, des enfants passés par Izieu, le témoin de la rafle. Léa Feldblum se déplace depuis Israël. Sabine Zlatin déclare devant une chaise vide, car Barbie refuse d’assister à son procès : « Barbie a toujours dit qu’il s’occupait uniquement des résistants et des maquisards, ça veut dire des ennemis de l’armée allemande. Je demande : les enfants, les quarante-quatre enfants, c’était quoi ?! C’étaient des résistants ? C’étaient des maquisards ? Qu’est-ce qu’ils étaient ? C’étaient des innocents ! ».

La preuve du crime contre l’humanité tient dans un télex que Barbie a envoyé à ses supérieurs à Paris, dans lequel il précise que la rafle a concerné les enfants et les adultes juifs et que leur destination est Drancy, donc l’antichambre d’Auschwitz.

Le télex envoyé par Barbie. Crédit Mémorial de la Shoah.
Crédit Pascal Bresson, Giulio Salvadori. La Boite à Bulles

La dénonciation

Suite à la rafle du 6 avril, beaucoup se sont interrogés pour savoir comment les Allemands et Barbie ont eu connaissance de la présence de la colonie. On a dit qu’un Français accompagnait les soldats mais sans certitude. Un homme, originaire d’Alsace, proche des Nazis, installé dans le pays récemment est soupçonné. Faute de preuve, il est blanchi après la Guerre. Des années après, des journalistes peu scrupuleux accusent sans preuve des personnalités du village. Ces hypothèses sont balayées par les historiens. Reste le fait que comme tous les juifs, les enfants et les adultes ont du se faire enregistrer, que la colonie était enregistrée à la préfecture, que son installation est légale et non clandestine. La police connait les enfants, par trois fois, elle prévient les adultes que le danger approche. La Gestapo a déjà fouillé la préfecture de Belley, elle est donc au courant de la présence de la colonie. Personne, à l’heure actuelle, ne peut dire si la colonie a été dénoncée ou si les services allemands ont fait leur « travail ».

La maison qui a abrité les enfants et leurs accompagnateurs est désormais un mémorial situé dans un lieu d’une beauté à couper le souffle. Un lieu qui fut un paradis selon les souvenirs de Sabine Zlatin « Nous sommes arrivés en camion, pas en autocar, en camion ; et je me rappelle toujours, vous savez, Reifman, il a sauté du camion et a dit : « Quel paradis ! » »


La Rafle d’Izieu. Pascal Bresson (scénario). Giulio Salvadori (dessin et couleurs). La Boîte à Bulles. 160 pages. 26 euros.


Un lieu de mémoire, d’éducation et de vie pour comprendre le crime contre l’humanité et agir contre toute forme de discrimination.

“La Maison d’Izieu est aujourd’hui un lieu d’accueil et d’éveil à la vigilance qui entend délivrer, par le souvenir des enfants et des éducateurs de la Colonie d’Izieu, un message universel et agir contre toute forme d’intolérance et de racisme.”

La visite de la Maison d’Izieu en podcast

Les premières pages

https://www.la-boite-a-bulles.com/album/631/content/42

Les enfants d’Izieu

Colonie d’Izieu devant la fontaine, été 1943 © Maison d’Izieu / Coll. succession Sabine Zlatin

Liste établie d’après les registres tenus par Miron Zlatin

Près de 105 enfants sont passés par Izieu. 44 ont été déportées, les autres ont été sauvés par l’action de Sabine et Miron Zlatin et des adultes qui en ont pris soin.

ADELSHEIMER Sami Déporté

ADLER Edmond

ADLER Asher Alfred (Oscar)

ALEXANDER Heinz (Henry)

ALLOUCH Huguette

ALLOUCH Renée

AMENT Hans Déporté

ARONOWICZ Nina (Mina) Déportée

AVIDOR Violette

BALSAM Jean-Paul Déporté

BALSAM Max-Marcel Déporté

BENASSAYAG Élie Déporté

BENASSAYAG Esther Déportée

BENASSAYAG Jacob Déporté

BENGUIGUI Jacques Déporté

BENGUIGUI Jean-Claude Déporté

BENGUIGUI Richard Déporté

BENGUIGUI Yvette

BENTITOU Barouk-Raoul Déporté

BERGMAN Alec

BERNARD Paulette

BOUDON Pierre

BOUDON Roger

BROUN Georges

BULKA Albert Déporté

BULKA Majer (Marcel) Déporté

BYK Bernadette

CHARBIT Georges

CHOUKROUN Sauveur

DUFOURG Daniel

ELERT Charles

ELERT Léon

ELERT Michel Angel

ELERT Rose

FRAINNET Michèle Suzanne

FRIEDLER Lucienne Déportée

GAMIEL Egon (Edmond) Déporté

GERENSTEIN Liliane Déportée

GERENSTEIN Maurice Déporté

ENFANTS ACCUEILLIS À

LA COLONIE D’IZIEU

GOLDBERG Chaïm (Henri) Déporté

GOLDBERG Joseph Déporté

GRINBLATT Marcel

HALAUNBRENNER Claudine Déportée

HALAUNBRENNER Mina Déportée

HALPERN Georges Déporté

HAUG Miquette

HEBER Paulette

HIRSCH Arnold (BARREAU Jean-Pierre) Déporté

HIRTZ Georges

ITTAH Jacqueline

ITTAH Josiane

KARGEMAN Isidore Déporté

KAUFMAN Henri

KROCHMAL Liane Déportée

KROCHMAL Renate Déportée

LAMICHE Jacqueline

LAMICHE Suzanne

LEINER Max Déporté

LEKMAAKER Jules

LEVAN-REIFMAN Claude Déporté

LOEB Marcel

LOEBMANN Fritz Déporté

LUZGART Alice-Jacqueline Déportée

MARKIELEWIECZ Bernard

MATHIEU-DAUDE Jacques

MATHIEU-DAUDE Pierre

MERMELSTEIN Marcel Déporté

MERMELSTEIN Paula Déportée

NIEDERMANN Paul

PALLARES Guy

PINTEL Samuel

POPOWSKI Diane

PRUEDE Jean

PRUEDE Marie-Louise

RAIZ Claude

REIS Theodor Déporté

SADOWSKI Gilles Déporté

SOURIANT Henri

SPIEGEL Martha Déportée

SPIEGEL Senta Déportée

SPITZ Claude

SPRINGER Sigmund Déporté

STERN Samuel

SZARF Émile

SZARF Sara

SZARF Simon

SZULKLAPER Sarah (Suzanne) Déportée

TEBOUL Jacqueline

TETELBAUM Herman Déporté

TETELBAUM Max Déporté

TRAUBE Georges

VERDIER Henri

VIEU Francis

VIEU Jean-Louis

WAYSENSON Adolphe

WAYSENSON Bernard

WAYSENSON Hélène

WELTNER Charles Déporté

WERTHEIMER Otto (WERMET Octave) Déporté

WOLF Helga

WOLMAN Henri

WOLMAN Roger

WUCHER René-Michel

ZUCKERBERG Émile Déporté

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Stéphane Dubreil

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